Tsitaadid raamatust «Гортензия в маленьком черном платье», lehekülg 2
Arrête d’endosser tous les malheurs du monde ! Tu n’as que deux omoplates !
C’est terrible d’être gentil, les gens se croient tout permis, ils te marchent dessus, ils profitent de toi, ils te torturent.
L’amour est ce que tu veux qu’il soit. C’est une grande échelle. Elle t’emmène au ciel ou en enfer. À toi de choisir. Moi, j’ai choisi le ciel et un trône. Je règne. Comme les princesses dans les contes qu’on lisait, petites. Il ne faut surtout pas avoir peur. Sinon, tu t’écrases par terre. Tu finis en bouillie. Moi, assise sur mon trône, je suis une princesse. Sûre de moi. Sûre de l’autre.
Comment fait-on pour s’asseoir sur un trône ? Il faut se dire qu’on est unique, que personne ne nous arrive à la cheville. On est tous uniques. On l’oublie trop souvent.
Tu sais ce que disait Oscar Wilde ? (...) “To love oneself is the beginning of a life long romance.” C’est la seule histoire d’amour qui vaille la peine. Elle conditionne toutes les autres.
Un rien peut me détruire. Je crois qu’il faut que je travaille ma carapace.
Tu sais, je pourrais vivre dans les livres, les manger, les boire, m’en draper. C’est beau, les livres, c’est beau, la vie.
Drôle de fille ! Je ne la comprends pas. Souvent elle m’énerve mais je l’aime. Je voudrais la protéger et la gifler. La secouer et la cajoler. On est si différentes. Et pourtant, nous sommes sœurs.
L’artiste est une exception : son oisiveté est un travail, et son travail un repos.
La peur que tu enjambes est le pont vers la réussite.
Я люблю учиться. Это моё хобби. Я люблю приобретать знания, так же, как другие - заниматься шопингом. Когда ты много знаешь, ты хоть кому можешь заткнуть рот и заслужить уважение.
За счастьем не надо гоняться, надо самому производить его для себя. Вот и весь секрет.
