L'équipe dirigée par le cinéaste L. V. kuleshov a acquis une grande importance à cette époque. Dans cette équipe, le travail des réalisateurs V. I. pudovkin et B. V. Barnet, des acteurs A. S. Khokhlova, V. P. Vogel, etc.
Le développement idéologique et artistique du cinéma soviétique a reçu une expression brillante dans les films des réalisateurs SM Eisenstein et V. I. pudovkin. Eisenstein a commencé ses activités au cinéma avec le film «Stachka» (1925) – la première œuvre de l'art cinématographique soviétique, recréant l'image de la masse ouvrière révolutionnaire. Bien que la décision artistique de l'image ait été influencée par l'influence des théories de «proletkultura», elle est devenue une étape importante dans le développement du cinéma soviétique. Dans le prochain film d'Eisenstein "Tatou" Potemkin "" (scénario De N. F. Agadzhanova I S. M. Eisenstein, opérateur E. K. Tisset, 1925) le thème révolutionnaire a reçu une incarnation politiquement profonde et artistique passionnée. En 1905, le film affirme la puissance victorieuse des idées révolutionnaires, montre l'inévitabilité de la victoire de la révolution, plus d'une fois reconnu comme l'un des meilleurs films jamais tournés selon les résultats des enquêtes internationales des critiques, des critiques de cinéma et du public. La vérité de la vie et le pathos révolutionnaire ont été exprimés dans ce film à l'aide de moyens picturaux novateurs. Le montage, le rythme, la composition, les détails réalistes vifs ont servi à créer l'image d'un peuple en difficulté. "Tatou " Potemkin" a eu une énorme influence sur la formation du cinéma mondial.
Un rôle exceptionnel dans le développement de la cinématographie a été joué par le film de V. I. pudovkin «Mother» (d'après le roman de M. Gorki, scénario de N. A. zarkhi, opérateur A. D. Golovnya, 1926), qui a recréé les événements de la première révolution russe. En 1927, pudovkin a réalisé le film "la Fin de Saint-Pétersbourg «(scénario de N. A. zarkhi, opérateur de A. D. Golovnya), en 1929 —» le Descendant de Gengis Khan" (scénario De O. M. Brick, opérateur de A. d Golovnya), dans lequel des images typiques vives des représentants avancés du peuple ont été créées.
Au début des années 20.des succès significatifs ont été obtenus par les réalisateurs de l'ancienne génération, qui ont commencé leur chemin créatif dans le cinéma pré-révolutionnaire. Le plus grand d'entre eux – Ya.A. Protazanov, a créé un certain nombre de films imprégnés d'amour pour l'homme soviétique ordinaire, affichant des changements révolutionnaires dans la vie de la patrie (films «Son appel», 1925, «quarante et unième», 1927, «don Diego et Pelagia», 1928, etc.).
L'un des films les plus importants et les plus réussis du début du cinéma russe doit être appelé «la Défense de Sébastopol» (1911) de Vasily Goncharov et Alexander khanzhonkov. Le film est une chaîne d'événements reconstruits de la défense de Sébastopol pendant la guerre de Crimée de 1853-1856, peut-être à la suite de faits réels. Je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain.je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain. Les scènes de bataille ici semblent avoir été filmées pour la première fois au monde par deux caméras utilisant des panoramas et des angles de caméra. Les unités régulières de l'armée russe et les vétérans de la bataille de Sébastopol des deux côtés du front ont participé au tournage – dans la finale, ils apparaissent à l'écran. Dans l'original, le film a duré 1 heure 40 minutes. C'était le premier russe et l'un des premiers longs métrages au monde.
Dans les années 20, la cinématographie soviétique est reconstituée par un grand groupe de jeunes réalisateurs.
En 1922, les réalisateurs G. M. kozintsev et L. 3. Trauberg a créé à Petrograd le collectif "la Fabrique de l'acteur excentrique" (FEX). Dans le film «la nouvelle Babylone " (1929), ils ont montré fidèlement à l'écran les événements de la Commune de Paris. Avec un grand succès dans ces années, le réalisateur F. M. ermler a travaillé sur le thème moderne. Dans le film «le Fragment de l'Empire» (1929), mis en scène par Hermler, sous une forme artistique brillante, le sens des conquêtes politiques de la classe ouvrière a été révélé. Dans le film «Lace " (1928), le réalisateur S. I. yutkevich a poétiquement incarné les caractéristiques du nouveau dans la vie quotidienne et la moralité du peuple soviétique. Parmi les meilleurs films de la fin des années 20: «le processus des trois millions» (1926) et «don Diego et pelageya» (1928) du réalisateur Ya.A. Protazanov, «Deux amis, un modèle et une amie» du réalisateur A. D. Popov (1928), etc. à Moscou, un groupe de jeunes réalisateurs a travaillé avec succès, parmi lesquels B. V. Barnet, A. M. Room, Y. Ya. la plupart des Films qu'ils ont mis en scène reflétaient les problèmes de la modernité, de la nouvelle morale. La montée de l'art cinématographique soviétique était étroitement liée à la formation des cadres des réalisateurs, ainsi qu'aux cinéastes (E. N. vinogradskaya, G. E. Grebner, S. A. ermolinsky, N. A. zarkhi, B. L. leonidov, O. L. leonidov, VK turkin, etc.), opérateurs (A. D. Golovnya, D. P. demutsky, A. N. moskvin, E. K. tisse).
Dans le documentaire de ces années, les films historiques et documentaires se distinguent: «la Chute de la dynastie des Romanov» (1927), «Le grand chemin» (1927), «la Russie de Nicolas II et Léon Tolstoï» (1928) du réalisateur E. I. Shub, le film «le document de Shanghai» du réalisateur I. I. Blioch (1928)-sur la lutte révolutionnaire du peuple chinois, «turksib» du réalisateur V. A. Turin (1929) – sur l'industrialisation socialiste.
À partir de 1927, les revenus de la location de films soviétiques ont dépassé les revenus de la location de films étrangers. Les exportations de films soviétiques à l'étranger ont augmenté (en 1927, les films ont été vendus dans 54 pays).